Le chant s’élève vers

Le chant s’élève vers. Ou bien le chant nous élève vers où ( quel verrou rouillé à dérouiller )

« Dieu n’existe pas, Il existe. »

Qu’est-ce qui existe ici ?

Le « je » , la personne, semble exister. On peut poser cela a priori, comme existant. (personne dit Ulysse )
Le monde, impersonnel, comme une foule, un océan.
Puis il y a Il , troisième personne, au féminin, une île, inconnue. un destin qui se dessine bien ou mal.
Dans tout ça Dieu n’impose rien, ni le bien ni le mal. Mais il s’impose discrètement à nous, à nos pensées sous les masques, ( personne )
C’est à chacun d’entre nous, qu’incombe l’un ou l’autre, en fonction de ce qu’on connaît ou veut approcher.
Tout cela par le chant, par les œuvres, et par nos pensées.
À quel paradis pensons-nous ? Pour quelle félicité agissons nous ? Quel dieu allons nous créer en nous ?
C’est à dire à quelle forme de vie qui nous permettrait de supporter les moustiques et autre mouche du sommeil.

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