Les chaînes qui nous oppriment, et nous révoltent, se relâchent. Faut-il sans doute que nous soyons allés jusqu’au bout de la négation, pour y trouver notre mort, et acceptions de vivre ?
Les chaînes qui nous oppriment, et nous révoltent, se relâchent. Faut-il sans doute que nous soyons allés jusqu’au bout de la négation, pour y trouver notre mort, et acceptions de vivre ?