La reconnaissance réciproque doit amener une certaine paix sur cette planète, cette petite demeure, si nous ne voulons pas perdre la possibilité d’une plus grande.
Entendons-nous d’abord sur ce qui est grand. Ne nous égarons pas dans un cosmos à moitié vide. Grand intérieur puis extérieur.
Ce n’est pas fini. Les états se sont fondés sur des découpes violentes, des machinations guerrières, d’ idées et de possessions.
Si tous les États se reconnaissent, la guerre n’a plus aucune raison d’être. Il ne reste plus que la lutte pour notre espèce en lien avec toutes. La survie de l’humanité vivante. Des petites gens et des grands parmi nous. Selon l’idée que la domination n’a plus de raison d’être.
Mais bon, on enfonce toujours des portes vers l’abîme s’il nous manque une reconnaissance unique, qui nous est demandée.
De quelle reconnaissance il pourrait s’agir.