Je constate qu’il est difficile de s’entendre.
Si nous étions pure goutte d’eau nous n’aurions pas quitté l’océan. Le voyage d’une goutte n’ayant pratiquement aucun intérêt ni pour la goutte ni pour l’océan.
Nous, animaux spéciaux, si pour une part sommes de la même eau que l’amibe, la bactérie ou le chimpanzé, nous portons en plus une charge moins, qui parfois nous plombe, parfois plombe le monde, empêchant par des dépêches les gouttes de retrouver l’innocence originelle.
Bref, l’ombre, comme l’an nuit, peuvent nous dévorer malencontreusement.
D’où cette nécessité d’arroser les plantes. Afin d’y voir plus clair.
L’eau luit. Utile à notre part d’hombre.