Que reste-t-il à ceux qui sont laissés pour compte, sur le bord des routes de leurs découragements orphelins ? Conséquences des fardeaux accumulés des générations ayant perdu le fil vivant des ondes douces. L’alcool pour oublier leur cauchemar des nuits de solitude froide et des écrans de verre impassibles et muets. Je songe à ce que nous appelons Père, très distinctement, comme un Roc.
Au milieu des tempêtes.