Qui sait

Il n’y a pas des millions de possibles. Il n’y a que deux choses, deux choix. Ordre ou désordre, Vivre ou mourir, Aimer ou haïr.
Il est difficile de passer à l’autre choix, sans se détruire, puis se reconstruire sur une nouvelle base.
Comme dans un système de croyances, si tout s’effondre, pour une raison quelconque, on repart de rien et on se reconstruit avec peine si cela s’avère possible. Quand tout s’effondre tout nous emporte et nous ne pouvons plus vivre.

C’est pourquoi il y a des ennemis, ayant opéré des choix autres. Le défaut du monde c’est de toujours vouloir que l’autre se plie à ce que l’on est, pense ou fait. Puisque la reconnaissance n’est pas effectuée, il y a un sentiment de mépris, et des ressentiments comme des zones grises qui font ce monde sourd et impitoyable, dans la destruction des autres et de leurs choix autres.

Les hommes ne se reconnaissent pas les uns les autres, ou de façon très hypocrite. Ils ne reconnaissent pas non plus en eux-mêmes leurs fautes, et encore moins les dimensions d’ordre divin, et ce que cela implique. Sans cela, aucune amélioration n’est possible. On aura beau faire toutes les politiques, modifier les contextes, les bases étant sur du sable.

C’est évident qu’il y a des défauts, des orgueils, des humiliations, à tel point que des crimes abominables ont lieu.

Mais ce n’est pas justifiable.

 

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