Tout est vivant. C’est simple.
Mais dans ce tout vivant il y a une certaine et relative mort des corps. Qui semblent devenus inanimés, à l’échelle des moindres cendres. Celles-ci ne ne raniment pas d’elles-mêmes. C’est le Tout qui les raniment, ranimant la partie.
Comment et pourquoi, sous l’effet de quelle volontés ou nécessités, évident que je l’ignore.
Ceci évoqué, concerne cet aspect des objets apparents de notre monde. Mais il y a cet autre aspect des choses, et dont le philosophe parle c’est cet esprit qui ne se laisse pas circonscrire. Guère plus que le réel de la matière, on peut en faire le constat simple.
Où ça se complique c’est ce lien entre matière et esprit, et le langage.
On peut lire des choses assez sidérantes de vérité chez un penseur physicien et philosophe qui flirte avec une certaine spiritualité sans Dieu.
Hélas, sans non plus le voir faire un saut vers une dimension spirituelle qui précède celle de nos corps présents. Pour ne pas succomber à une pensée et croyance toutes faites ? À des définitions qui s’avèrent insuffisantes. Ou gratuites si elles ne confèrent pas un certain pouvoir sur les choses.
Ça se trouve à côté de cette volonté de percer les secrets ?