Un homme, un vivant, conscient des drames, touché dans sa chair, son crâne et son coeur, voyant, révolté, que peut-il s’il ne sait pas où sont les réponses ? Et s’il en trouve, s’il les entend bien, s’impose à lui le fait de les transmettre, non comme des éléments intellectuels distants ou détachés de la chair, des rationnels froids insensibles nés du doute, mais comme enjeu crucial des âmes, dans leur ensemble près de lui.
Il est comme un guérisseur, un médium agissant par …
Don.
J’aime beaucoup l’idée du guérisseur.
Du moment qu’il agit en toute lucidité…
Ben oui, ça devrait être comme ça, faire passer de la lumière.
Parfois, ne rien faire est le faire le plus puissant. Il faut faire confiance, la vie cherche la vie.