Démographie

Il n’y a pas que des armes technologiques, il y a aussi des bombes démographiques, des calculs et des pressions pour que les femmes mettent au monde des quantités d’ hommes qui porteront des armes. Un ensemble accroît sa force face aux autres ensembles. Ce n’est pas la lutte des classes, c’est la lutte internationale, pour s’imposer dans le monde. Et imposer quoi ? Sa vérité ? Comme si les parties adverses étaient sans vérités. Et qu’il fallait les endoctriner. Ce qui est historiquement le fait majeur, c’est cette volonté de soumission, sous le prétexte de « vérités transcendantes » qui s’imposent autant au sein d’un ensemble qu’à l’extérieur, à l’étranger.

Ce jeu est faussé. Rares sont les vérités qui percent et nous maintiennent en vie. Ce mensonge serait une explication à ces guerres qui n’en finissent jamais.

La mort nous poursuit. Pourrait-on dire que nous ne faisons jamais que de venger nos morts, défendre leur histoire ?

Dans ce scénario il nous manque toujours cette image de nos vies futures, des moyens pour nous y retrouver vivants. Et par conséquent les motifs de cette existence présente. De ce qui se doit d’être construit ici.
Il s’agit de nous. Ça fait des millénaires que nous sommes déconstruits.

Quel est cet être en Nous qui n’est plus ? ou qui est si mal.

Le Soleil fait son cinéma

Platon, pardon, mais quel con fus-je. La politique technique politique qui tranche avec des décrets dans les âmes chairs nous déchire sans offrir le moindre début de réponse ou de repos.
La caverne et ses reflets, la grotte ornée, la crypte et la fresque, voyage au centre de la terre, parleur design.
Le Soleil aveuglant Se dessine sur l’écran des pierres, et ainsi se révèle et s’expose. Il nous montre en douceur tout ce qu’il contient. Et qui est bien plus que de l’énergie, contenu de puissance.

Maladroitement : En nous, H. Il y a un dessein. Un des seins des saints. Il y en a. La vague du Portugal, le mont Fuji. La geisha. L’ami. H, Hiro. Naga. Fil sous la terre et le temps.

Ainsi discrètement nous tient en éveil.

Ce qui se trame en nous, il s’agit de La Vie étendue. De l’expansion créatrice débordant du cadre étroit des existences individuelles, quoique passant par le moi, indispensable, et la volonté. Cela fait une arborescence. On dessine. On se dessine et se signe. Fil continu sur le nu. Infimes variations de la plume ou du pinceau comme des larmes. Des pluies qui nous tiennent en éveil la nuit.

Eric, repoussant politique

(et rejetant les mots des robots, leurs discours intelligents )