De la difficulté de dire

Les mots ne peuvent dire les choses, tout comme les choses ne sont pas des choses. Tout nous échappe, filant plus vite que la raison. Comme l’eau glisse entre nos doigts. Il y a pourtant une lumière quelque part.
Est-elle vraiment reçue et respectée ? Préservée comme il se doit. Et que nous comprenions où cela est censé nous mener. Il ne faudrait pas que nous nous méprenions sur les intentions extra-ordinaires, venues des dimensions « angéliques ».
Dieu n’est pas assassin, ni preneur d’otages. En d’autres termes, qu’avons nous fait de Dieu ? Puisqu’il s’agit de celui qui doit revenir par nous-mêmes.
Les conditions sont-elles remplies ? Le pourraient-elles quand le Monde se massacre ? Septembre noir ou gris ?

La terre malgré tout

Quand j’existe je peux faire abstraction de moi, et don de moi.

Le don ne vient que de Dieu, dont nous prenons ce qu’il donne. Si nous ne le prenons pas, que pourrions nous donner, si ce n’est que du mortel ? Ou quelque chose de corruptible, d’éphémère ou de relatif.

la terre est belle

C’est une chance