Par ces outils numériques, il y a profusion des images et pléthore possible de vols, par la confusion. Si bien qu’il n’y a plus de reconnaissance de ce qui est création originale. L’artiste reste seul dans sa relation intime avec sa vision et est renvoyé à l’insignifiance, ou à l’inexistence.
C’est de la récupération, ce n’est pas trop pur. Ça galvaude, déforme ou dévoie, ça corrompt le fil. C’est à dire cette relation censée provenir de la source à laquelle tout le monde a droit.
Le monde dans ces conditions se trouve égaré. Et perverti.