Platon, pardon, mais quel con fus-je. La politique technique politique qui tranche avec des décrets dans les âmes chairs nous déchire sans offrir le moindre début de réponse ou de repos.
La caverne et ses reflets, la grotte ornée, la crypte et la fresque, voyage au centre de la terre, parleur design.
Le Soleil aveuglant Se dessine sur l’écran des pierres, et ainsi se révèle et s’expose. Il nous montre en douceur tout ce qu’il contient. Et qui est bien plus que de l’énergie, contenu de puissance.
Maladroitement : En nous, H. Il y a un dessein. Un des seins des saints. Il y en a. La vague du Portugal, le mont Fuji. La geisha. L’ami. H, Hiro. Naga. Fil sous la terre et le temps.
Ainsi discrètement nous tient en éveil.
Ce qui se trame en nous, il s’agit de La Vie étendue. De l’expansion créatrice débordant du cadre étroit des existences individuelles, quoique passant par le moi, indispensable, et la volonté. Cela fait une arborescence. On dessine. On se dessine et se signe. Fil continu sur le nu. Infimes variations de la plume ou du pinceau comme des larmes. Des pluies qui nous tiennent en éveil la nuit.
Eric, repoussant politique
(et rejetant les mots des robots, leurs discours intelligents )