les empires ignobles

Immondes empires qui dévastent les vies, les existences vivrières des fleuves, des jungles et des montagnes, là où les hommes avaient encore le temps de regarder les étoiles, sans briser les chaînes du destin, sans forcer les temps. Vivants parce qu’ils rendaient, par ces offrandes aux leurs, invisibles devenus comme des dieux, une certaine grâce.
Sous cet angle là, nous ne serions pas disparus. Mais sous un autre, si bas, aucune chance.

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