Sat ( suite )

Je reviens sur Satan, et sur Jésus. En essayant de ne pas m’embrouiller. On pense Satan comme étant mal, et Jésus comme bien, les deux indépassables. Est-ce si simple, cette lecture binaire ? Ceux qui prirent Jésus, en imposèrent l’image et la rendirent sacrée, servaient étrangement Satan, de bonne ou mauvaise foi, selon leurs conditionnements humains chargés de mélanges, de doutes, de peurs, d’espoirs, d’ignorances de toute sorte. C’est exceptionnel s’il s’agissait d’un Jésus réel, et de sa parole, de la limpidité de son message, et surtout de son destinataire. Parce que le message messianique n’est pas chose standard, ou système rigoureusement valable pour tous, sauf peut-être à un niveau indicible.
C’est une réponse appropriée à celui qui en fait la demande.

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