Ceux qui pensent diriger le monde avec leur ruse, et volonté de dominer sont les premiers trompés, s’ils prennent les gens pour des demeurés. On ne se fait guère d’illusions. Tôt ou tard les choses sont remises à leur place.
Ainsi en est-il de la question climatique à laquelle désormais le monde croit, comme étant la principale alarme. Ce qui escamote les autres problèmes autrement plus graves touchant toute la vie sur terre, et qui remettent en cause notre existence. Je veux parler de tous les poisons générés par les productions, par ces techniques, ces chimies et modifications génétiques, ces biologies perturbées, de même que les milieux naturels dévastés, océans, jungles, sols, airs, eaux, rayonnements ionisants, etc. Sans parler des générations sous emprise à qui l’on ne donne rien de bien comme nourriture pour leurs corps et pour leur esprit, et qui tombent dans la drogue, le sexe maladif, les fausses réponses relatives à l’existence, tout cela entraînant révolte et violence, manque flagrant de perspectives, et de libertés, suscitant peurs ou cynisme chez les jeunes gens, ou alors une soumission à l’argent, comme seule finalité de vivre, indifférent aux moyens.
Le climat est la minuscule partie émergée de la catastrophe, qui fut montée en masse critique unique urgente, que les décideurs allaient pouvoir régler avec des mesures imposées. Mais il n’en est rien, le système ainsi se conserve, et la machine peut continuer à plein régime, pourvoyeuse d’armes et de puissances, d’objets à consommer, et d’avoir un salaire et une retraite au bout. Là, tout irait parfaitement bien, tout serait en ordre, une humanité mise au pas. Et s’il y a des problèmes, cela ne peut être que de la faute des autres états, des puissances adverses, des peuples rétifs aux adaptations qu’impose le désordre climatique, rétifs aux transitions énergétiques, et ce critère – présenté comme absolu – des gaz à effet de serre, facteur de catastrophe planétaire.
Alors qu’en vérité ce n’est pas le fait majeur. Le fait majeur, est composé de tous les faits existentiels, et essentiels qui forment la conscience et la responsabilité de chacun d’entre nous dans ses actes, dans ses mots et ses pensées. Ce que nous sommes, dans notre être, et qui décide de notre existence. De cette part négative et de cette part positive qui cohabitent en chacun d’entre nous et qui nous dicte nos choix. Choix dont les répercutions sont obligatoires, dans un sens comme dans une autre. Une cause X ne peut pas produire le même effet qu’une cause Y. Un crime n’a pas les mêmes effets qu’une caresse. Non plus pour celui qui est cause. Il est responsable de son choix, qu’il devra assumer, et en recevoir les fruits.
Toutefois, les conditionnements initiés chez l’enfant fait que la responsabilité est moindre que chez ceux qui ont conditionné et fabriqué ces processus pour des finalités troubles. C’est diabolique, pernicieux.
C’est pour cela qu’il n’y a guère d’issue que de remettre sur pieds quelques vérités essentielles. Et que chacun partant de cela puisse faire ses choix. Toute la difficulté revient à énoncer et clarifier le vrai. De même indiquer la beauté, et le bon.
Voyez l’hypocrisie des pouvoirs, dès lors qu’il y a opposition aux productions dont on sait (et les gouvernements aussi) qu’ils génèrent des gaz à effets de serre. Ainsi il sont pris dans leur propre contradiction, pris à leur piège. ils veulent bien d’une COP, mais surtout ne rien changer. ( voyez les gardes à vue prononcées et contre qui )
P.S. s’il est entendu que le climat est déréglé, les facteurs pour rétablir l’équilibre, tels qu’on nous les présente sont loin d’être probants. Surtout si on sait que ceux qui en font la promotion sont des marchands de pétroles et des businessmen assez largement pourris et impliqués dans ces affaire de transitions, un enjeux de gros sous avant tout. et après eux le déluge.
je vous remets le lien de Nicolino , où l’on entend parler du gratin corrompu
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