Dans le bruit du monde

Il faut tout de même un minimum de bon sens. Dieu, n’est pas machin, mais machine. Machine à tout faire, et savoir ce qu’elle fait, à aimer, produire son propre sens, et sa propre lumière, son harmonie, son bal, et stupéfiant, son jeu de cache, invisible et ses énigmes, puis nous.
Nous dans ce bal, selon notre façon de danser, de prendre et de donner, y trouvons notre compte ou nos malheurs. Il semble qu’il y a des lois, que le mal n’est pas une fatalité contre laquelle nous ne pourrions rien. Une part non négligeable de chance et de malchance, également.
Quelle musique faudra-t-il chanter pendant des siècles, combien d’œuvres et d’images sublimes, pour percevoir ce qui s’y cache et s’y révèle, et nous cause en notre intimité ? nous avons tout à apprendre, et reconnaître, les uns par les autres. Sauf ce qui nous anéantit.

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